J'arrive bientôt au bout de cette série de publications d'interviews de différents indépendants de la région lyonnaise. Je vous laisse maître de vous faire votre propre opinion en relisant les anciens épisodes (les retours de Moulay Semlali, Cyril Lacote, Laurent Gayet et Romain Couturier).
On se rend compte que chaque parcours est différent, que les motivations ne sont pas les mêmes. Si on devait trouver un point commun à chacun, je choisirai sans hésiter le sentiment de liberté qui les anime. Aujourd'hui je vous retranscris l'interview d'Alfred Almendra que vous pouvez suivre sur Twitter, sur Google + et dans de nombreux événements autour de l'agilité.
Depuis combien de temps es tu indépendant et qu’est ce qui t’a poussé à le devenir, quel statut as-tu choisi ?
J'ai essayé l'édition de logiciel, la société de service, l'indépendance, le client final. Et au bout de 9 ans, j'ai fini par comprendre ce qui me plaisait : les projets et les missions, plus que la vision des entreprises. Et il m'a alors semblé que l'indépendance était un bon moyen d'avoir les avantages du service sans les inconvénients.
Je suis (de nouveau) indépendant depuis 6 ans, et j'apprécie de plus en plus la possibilité de saisir les opportunités de missions comme elles viennent tout en ayant du temps pour recevoir et donner des formations.
J'ai choisi le statut d'EI (entreprise individuelle) pour sa simplicité.
Es-tu satisfait de ton choix et comment te projettes tu dans l’avenir ?
Oui je suis satisfait de ce choix, et je ne me vois pas changer de statut prochainement. Ceci dit, avec la libération de plus en plus d'entreprises, il se pourrait qu'un jour je sois (enfin) séduit par la vision d'une entreprise (ou que je la crée, qui sait...), et dans ce cas je pourrais tourner une nouvelle page.
Comment trouves tu tes missions ?
Je n'ai jamais décroché 2 missions de la même manière, du coup, difficile à dire, et surtout à prédire...
J'ai parfois l'impression que mes tentatives de prospection ne mènent pas bien loin, et qu'il est finalement plus simple et efficace de saisir les opportunités quand elles passent. D'ailleurs, c'est peut-être le seul point commun entre mes missions : garder du temps disponible (du mou comme on dit) pour réagir vite à la moindre occasion.
Comment fais tu pour rester à jour au niveau des compétences requises dans le secteur ?
J'en apprends tous les jours, au gré des missions !
Sinon, j'utilise aussi Twitter, je lis (surtout des billets de blogs), je visionne des vidéos en ligne, j'assiste à des conférences, je participe à des soirées communautaires, je vais en formation, et je donne des formations.
Je suis (de nouveau) indépendant depuis 6 ans, et j'apprécie de plus en plus la possibilité de saisir les opportunités de missions comme elles viennent tout en ayant du temps pour recevoir et donner des formations.
J'ai choisi le statut d'EI (entreprise individuelle) pour sa simplicité.
Es-tu satisfait de ton choix et comment te projettes tu dans l’avenir ?
Oui je suis satisfait de ce choix, et je ne me vois pas changer de statut prochainement. Ceci dit, avec la libération de plus en plus d'entreprises, il se pourrait qu'un jour je sois (enfin) séduit par la vision d'une entreprise (ou que je la crée, qui sait...), et dans ce cas je pourrais tourner une nouvelle page.
Comment trouves tu tes missions ?
Je n'ai jamais décroché 2 missions de la même manière, du coup, difficile à dire, et surtout à prédire...
J'ai parfois l'impression que mes tentatives de prospection ne mènent pas bien loin, et qu'il est finalement plus simple et efficace de saisir les opportunités quand elles passent. D'ailleurs, c'est peut-être le seul point commun entre mes missions : garder du temps disponible (du mou comme on dit) pour réagir vite à la moindre occasion.
Comment fais tu pour rester à jour au niveau des compétences requises dans le secteur ?
J'en apprends tous les jours, au gré des missions !
Sinon, j'utilise aussi Twitter, je lis (surtout des billets de blogs), je visionne des vidéos en ligne, j'assiste à des conférences, je participe à des soirées communautaires, je vais en formation, et je donne des formations.
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